PUBLIEZ, IL EN RESTERA TOUJOURS QUELQUE CHOSE
En 1997, alors en fac de Lettres Classiques, j’avais monté avec un pote une autre association (toujours non subvensionnée)
dans le but lâchement
non-avoué de draguer les fraîches étudiantes.
Elle avait alors pour objet de «promouvoir la poésie et la photographie en Auvergne».
Nous proposions aux jeunes filles de publier leurs oeuvres dans notre périodique déclaré.
L’association s’appelait
(ou s’appelle, je sais plus si on l'a dissoute) :
VERS DIVINS
Le jeu de mots pourri s'intégre bien dans la première couvrante…
Le quatrième de couverture est pas mal non-plus...